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Marie Adjedj

Marie Adjedj est historienne de l’art et commissaire d’exposition.
Elle a enseigné l’histoire et la théorie de l’art contemporain à l’EsadTpm, et finalise sa thèse qui a pour sujet « Être avec l’art : les usages du document dans la critique d’art et les pratiques de l’exposition au tournant des années 1970 » (Aix-Marseille Université).

Anaïs Dormoy

Anaïs Dormoy vit et travaille à Lyon. Elle s'intéresse à la notion de valeur et plus particulièrement à l'importance qu'elle a dans le regard porté sur l'art, le statut de l'œuvre et de l'artiste.
Sa recherche porte sur le fonctionnement des différents processus : elle visite actuellement les réflexions portées par F. Fanon et E. Glissant visant à déceler les pouvoirs et leurs effets autoritaires qui peuvent se retrouver dans le champ artistique.

Jean-Loup Faurat

Jean-Loup Faurat obtient son DNSEP à L'EsadTpm en 2014. Sa démarche est fondée sur l'expression du potentiel plastique d'appareils et de technologies dont les performances sont généralements obsolètes.
Il en transgresse la vocation initiale, fondée sur une représentation du monde principalement informationnelle, communicationnelle et/ou consumériste, pour les mettre à l'épreuve d'une approche sensible, perceptuelle ou synesthésique, qu'elle soit le fait de l'artiste ou celui du regardeur.
On peut y lire en creux le questionnement d'évolutions technologiques toujours plus prometteuses et efficaces, mais pourtant bridées par une intervention humaine bornée à l'activation et à la désactivation.
Il vit et travaille à Toulon.

Géraldine Martin

Géraldine Martin explore les usages de la photographie populaire et les modalités de sa monstration pour interroger plus globalement les principes même de la photographie, c’est-à-dire la relation paradoxale entre la reproductibilité de l’image et l’unicité de l’objet.
L’attention portée aux éléments qui accompagnent et composent – ou composent avec – l’image, fait ainsi émerger le caractère essentiel de ses supports et la dimension objectale de sa restitution.

Édouard Monnet

Julie Real

Etudiante à l'ESATPM depuis 2011 et ergonome depuis 2004, Julie travaille la question du récit à partir de documents et témoignages, déclinant une série de traitements textuels et de protocoles liés à l'image et à la parole recueillie.
Le caractère souvent hermétique des documents utilisés découle de leur brutalité technocratique et l’aliénation qui en résulte. Pour autant, leur intérêt réside peut-être au sein même de cette particularité.
Elle opère un déplacement de ces textes et/ou des images, avec l’intention de faire des propositions impliquant un conflit d'intérêts et de représentations ouverts.

Axelle Rossini

L'approche d'Axelle Rossini relève d'une éthologie du regard ou, plutôt, d'une éthologie par le regard.
C'est en effet l'observation des gestes et des milieux dans lesquels ils sont produits qui est à l'origine de sa pratique. Elle s'immisce discrètement dans le monde du sport, du travail, ou de l'éducation pour en observer des conduites symptomatiques réfléchissants les rapports de forces qui les engendrent ou les conditionnent.

Ian Simms

Ian Simms est artiste et enseignant à L'École supérieure d'Art de Toulon, Provence Méditérranée, il obtient une thèse à l'Université de Paris 8 sous la direction de Jean-Philippe Antoine en 2015.
D'origine sudafricaine, pays d'où il s'est éxilé pendant les années de l'apatheid, son travail s'articule autour des rapports de force politiques et sociales, des récits et leurs ruptures et la possibilité de production de connaissance par l'art. Il vit et travaille à La Seyne-sur-mer.

Mabel Tapia

Mabel tapia est chercheuse indépendante. Elle est membre de la red Conceptualisme del Sur.
Actuellement, elle prépare une thèse à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales en co-tutelle avec L'université de Buenos Aires. Son travail de recherche porte sur les processus de légitimation, de visibilité et de valorisation dans l'art, en lien avec le phénomène de réification.
Elle s'intéresse en particulier aux pratiques de filiation conceptuelle et aux propositions artistiques contemporaines qui se constituent dans la desactivation de la fonction esthétique. Elle vit et travaille à Paris.

Margaux Verdet

Margaux Verdet obtient son Diplôme National d'Arts Plastiques avec mention par les qualités des questionnements réflexifs de son travail.
Par la suite, Margaux a poursuivi ses études en histoire de l'art à Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à l'École du Louvre.
En parrallèle de ses expériences professionnelles particulièrement diversifiées (auprés de la FIAC ou encore du CIPAC...), elle publie également des critiques et contribue régulièrement à des expositions.
Elle vit et travaille à Paris.